Expositions

 


 

Dans le cadre de la commémoration des 700 ans de la création de l'évêché de Maillezais, le Département de la Vendée invite les visiteurs de l'Abbaye à découvrir une exposition de sculptures.

Invitation au voyage intérieur, les 57 œuvres conçues pour l'abbaye seront l'occasion de présenter sur l'ensemble du site un parcours exceptionnel de sculptures monumentales où se côtoient «Prêtresses», «Pythies», «Mages» et «Totems».

L'exposition est visible jusqu'au 17 septembre 2017.

Renseignements au : 02 51 87 22 80

www.sitesculturels.vendee.fr

 

 

Télécharcher le catalogue (3,5 Mo)


 Juillet/Août 2014

et en exposition permanente sur rendez-vous :

 

M. Bernard Derœux

 

Tél : 06 08 03 26 35 ou Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

« Ces œuvres sont nées en terre africaine, dans le silence, sur un promontoire entouré d'océan, au bout de l'île de Gorée.

Ces figures et formes, de goudron et autres matières, sont emblématiques d'une origine fondatrice, de mythes oubliés...

De quel présent (cadeau, temps ?) cette accumulation de signes est-elle porteuse ? Ces figures deviennent effigies, sont scandées d'intemporel et paraissent inatteignables. 

La réponse est à l'intérieur, dans des horizons lointains, où la linéarité n'a pas cours, où les mots se passent de mots pour verbaliser le sens du creuset, où pour tout écoulement se perçoit l'infinitude en allée imprégnée du seul commencement et de la seule fin : l'Amour, embrasé pour la vie, comme un transept humain, ancré dans la mouvance alternée du Souffle. 

Voici le chant de mes territoires parcourus.

Corps à cœur d'empreintes, de terre de goudron, de temps sacré, de rites, et de profonds miroirs étoilés.» JMS

 

 


Galerie de la Main de Fer

2 rue de la Révolution française, 66000 Perpignan

M. Bernard Derœux

Tél : 06 08 03 26 35 ou Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

du mercredi au samedi de 14 h 30 à 19 h et sur R.d.v.

 

Photos et vidéo de Laëtitia Lazizi,

Retrouvez ses réalisations sur :   


Juin/Juillet/Août 2014 

 

   

 

« J’ai toujours travaillé par variation thématique, souvent incluse au sein d’une série « mère ». 

C’est le cas des pièces présentées au Palais des Rois de Majorque de Perpignan.Le cours de mon œuvre s’est posé sur différents rivages. Celui d’Afrique a ancré en moi une modification profonde, cellulaire, au plus près de l’intrinsèque.

Les premières empreintes, nées à Gorée, l’île aux esclaves, ont suivi le cours d’un fleuve tellurique... qui, à l’image de Lespugue et de sa déesse ont charrié une irrésistible force muette face à la magie couronnée de dignité de cette terre énigmatique et magique.

Ces deux dernières années ont vu naître des « Mages », « Chamanns », « Le Rouge » et «  Suaires ». Cet ensemble se regroupe aujourd’hui sous le vocable « Demeures ».

J’aime notre langue et la subtile jubilation qu’exercent la poétique du langage, ses origines, son jeu de superposition. Par extension à la conjugaison et ses modes, « Demeures » s’inscrit dans la règle qui conduit tout acte réellement créateur : l’impératif. Comme le sont les centaines d’heures passées à guetter une bribe de son propre langage plastique, succédant aux milliers d’instants d’atelier ou de regards nomades qui permettent à l’artiste de laisser les traces de son passage dans le réel illusoire. 

Route insaisissable des « Demeures », ce chemin se parcourt sous un son grelottant. Nulle trace de repos, l’oiseau reste éveillé du couchant au lever ! Nulle Parole n’hésite à être prononcée . Le courage est frôlement d’innocence en ces lieux, tel le vol de l’Albatros « au sein des nuées » si bien tracé par Baudelaire.

Bienvenue en ces « Demeures » … la porte en ces lieux ouvre sur le toucher, la peau, ce poumon d’épiderme ; le regard du dedans, l’articulation hiératique des membres, l’accentuation de l’être androgyne.

Elles laissent entrevoir, sous le voile, le vivant qui interroge l’énigme « humanité », qui, pour certains cherchants, suit la voie sacerdotale du grand mystère  qui... demeure... en ces « Demeures ».

❊Voir la série des Prêtresses, des « Offrandes » ( 2002/ 2005), à visiter chez Bernard Derœux, Galerie la Main de Fer, Perpignan jusqu'au 16 août 2014

 Installation :

  

 

 

   

 

 

Laurent Coll du CG66 et ses assistantes, lors de l'installation

Merci pour leur collaboration à cette exposition et à l'ensemble de leurs collègues.

 

Palais des Rois de Majorque

Rue des Archers, Perpignan 66000

Tél : 04 68 34 64 93

ouvert 7/7 de 10 h à 18 h


 

Décembre 2013 / Janvier 2014

 

 

Maria João Flôxo, recevra JMS du 5 décembre 2013 au 10 janvier 2014 à l'occasion d'une exposition collective ayant pour thème 

« La Navidad »

des œuvres, petits formats pour des grands collectionneurs comme dirait Alice Mogabgab, réalisée pour fêter la natalité. 

Retrouver les informations de la Galeriá Aragón232 en cliquant ici

 


 Été 2013

 TRESOR DE L'ÉGLISE

Au moment de la suppression des ordres religieux, pendant la Révolution Française, Prades recueillit une partie du mobilier de Saint-Michel de Cuxa, grande abbaye voisine située à Codalet. En particulier les reliques, restes des corps des nombreux saints, qui formaient le prestige de l'Abbaye durant tout le Moyen Âge. ces reliques et leurs reliquaires s'ajoutèrent aux biens de la paroisse. 

L'art contemporain de Jean Michel Solvès investit la salle du Trésor du 18 juin au 28 septembre.


Janvier 2013

www.alicemogabgab.com


Janvier 2013

Alors que l'exposition débute à 15h dans des conditions climatiques "Digne du Québec", la Galerie Duchoze n'a pas désempli durant 6h.

Par vagues successives, on pouvait y côtoyer galeristes, curieux, collectionneurs, amateurs et artistes peintres et sculpteurs. Tout se jouait dans la bonne humeur, les dédicaces du livre, les ponctuations gustatives du chef Al Dente!

Un renouveau de jeunes artistes et une belle envolée décidément à Daniel, cet atypique marchand à qui de nouveaux collectionneurs font confiance... mais aussi des amateurs d'art fidèles à leur vision et leur place dans la circulation artiste-galerie-collectioneur pour que l'art toujours se fasse et se partage dans la continuité du fil de l'histoire.

Belle et longue vie à ces flots, dans un monde où le fracas se fait entendre de plus en plus fort.

 

 

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En 1996, Roger-Edgar Gillet exposa chez Daniel Duchoze à Rouen. A cette époque, R.E.G. et moi étions très liés. Je l’entends encore me dire, avec sa gouaille de solitaire au grand cœur : « Viens au vernissage d’un lieu extraordinaire à Rouen, le galeriste ressemble à Aristide Bruand ! Tu verras : musique, piano, chant, poésie, soirée comme avant »... Avant, quand les artistes vivaient l’art... Un vrai vernissage, comme avant de se montrer, comme avant que le cinéma qui fait et défait les artistes ne débarque sur la lie de ces lieux où l’on respire la peinture, la poussière de la sculpture et où l’on partage une connaissance de cette histoire qui marque la courbe de l’humanité sur la terre, l’Histoire de l’Art.

Car notre galeriste en connaît un morceau : de Lascaux à Cimabue, de Vélasquez à Zurbarán, le XIXe siècle, en passant de l’expressionnisme au constructivisme, sans faille, le tout ex- primé dans la passion et la ferveur d’un orateur qui connaît et maîtrise son sujet, en ajoutant le charmeur du verbe qu’il est... Et ce sujet qui n’a pas de limite prend forme pour l’auditeur. Son regard commence à lire une œuvre.

En 1997, je laisse quelques pièces, nous faisons notre première exposition, un carton, le début d’un voyage... Je découvre, avec le temps, les mille facettes d’un véritable érudit, marchand au caractère de capitaine de vaisseau d’un autre âge (sans doute la présence du port de Rouen), sans jamais entrer en force dans le choix des œuvres et dans un accrochage, laissant l’artiste commettre ses erreurs sous l’œil malicieux du maître des lieux. 300 m2 : une cathédrale. Durant nos cinq ou six expositions, nous parlons de Platon, d’Aristote, des Lumières, de littérature, de cinéma et de musique avec Colette... Bref « inculture », connaît pas ; « insensibilité », connaît pas ; « non générosité », connaît pas. En revanche, le bordeaux est toujours de qualité...

Si Daniel Duchoze n’avait pas été porté par la main d’un « hasard » aux doigts divins à ouvrir ce Lieu d’Art où ont défilé nombre d’artistes, de collectionneurs, d’étudiants et de passants, il manquerait une étoile au firmament et beaucoup d’œuvres n’auraient jamais été créées, ni exposées, ni partagées, ni acquises, restées dans la faille de chaos du silence et du regard. Merci à vous, Monsieur Duchoze, pour cette aventure qui continue, comme cette musique que vous m’avez fait découvrir, L’Eternité et Un Jour.

Recommencer, sans cesse... le mouvement de la vie. 

Page 153 du Catalogue "Une Galerie la passion d'un homme",La Galerie Daniel Duchoze racontée par ses témoins

 

 


Avril 2012 

 

"It's been a long time since I've seen work that reaches me like Jean Michel Solvès' works" Lydia Avril 2012 Miró's on the beach

 


Janvier 2012

 

"J'ai proposé ce titre "Et le Silence..." parce que pour une fois, et c'est rare dans une vie, le silence s'impose ou s'invite devant les images que vous nous proposez. Le visiteur est enfin seul face à lui et face au monde qui s'ouvre à lui par l'intermédiaire de vos regards d'artistes. "Et après ça, le silence" en quelque sorte. Et puis le mot "silence" revient régulièrement dans vos propos, dans les titres des expositions ou des œuvres de Jean Michel et dans le titre d'un livre de Bernard..."
David Rautureau, Déc 2011 Consultation préparatoire de l'exposition